A la rentrée universitaire 2015, nous avons accueilli la première promotion de la spécialité Développement Europe-Afrique du Master francophone en relations internationales. Une douzaine d’étudiants venant de différents pays africains se sont inscrits à cette formation, et certains d’entre eux ont choisi de partager leur expérience et leur ressenti :
Je suis Julie Nkiri Bungalasa, je viens de la République démocratique du Congo. J’ai une licence en économie option gestion financière. C’est avec un grand intérêt que j’avais présentée ma candidature pour intégrer le Master en Relations Internationales spécialité Développement Europe-Afrique, dans le but d’avoir un regard interdisciplinaire sur les questions européennes et africaines. Ainsi par rapport au cursus que l’Université de Szeged propose en collaboration avec l’Université de Senghor, j’ai été intéressée d’avoir également des connaissances en droit, en sciences politiques et en histoire, en complément de ce que j’ai déjà pu acquérir auparavant. ( ...) Je ne manque pas de souligner également cette opportunité d’avoir deux diplômes au lieu d’un. Je souhaite que ces études en Relations internationales aillent de l’avant et nous ouvre des portes soit à l’international soit au niveau national, l’essentiel est que nous ayons à exercer ce que nous avons appris.
--------------
Je me nomme Sylviane Laure SIKADIH KENGNE, je suis d'origine camerounaise. Je suis inscrite en première année de Master en relations internationales, spécialité développement Europe-Afrique du Campus Senghor à Szeged, en Hongrie. Je tiens tout d'abord à tirer un coup de chapeau à tout le personnel académique et administratif qui ne ménage aucun effort pour nous apporter tout le soutien dont nous avons besoin pour le bon suivi de notre formation.
La ville de Szeged offre un cadre propice pour toute personne désireuse de suivre une formation de qualité grâce à son calme et à la grande bibliothèque riche en ouvrages dans toutes les disciplines. Mon souhait pour la suite de la formation est de continuer à acquérir les outils nécessaires (théoriques et pratiques) relatifs à une meilleure maitrise des méthodes favorables pour le développement des rapports entre l'Europe et le continent africain, afin de promouvoir son essor économique et social.
----------
Je me présente Wilfried Abdul-Karim DOUMBIA, je suis Ivoirien (Côte d'Ivoire), étudiant en Master des Relations internationales Spécialité Développement Europe-Afrique et à ce titre, je projette à la fin de cette formation, concourir à la bonne coopération du développement entre l'Afrique et l'Europe, particulièrement de l'Europe centrale et orientale.
Mes attentes au cours de cette formation sont d’acquérir des connaissances en matière de système juridique, sciences politiques, notamment la politique contemporaine des États africains qui me permettront de pouvoir m'intégrer dans le monde diplomatique. Un profil me permettant d'avoir une carrière professionnelle dans les institutions internationales.
Le parcours à mi-chemin de cette formation correspond tout à fait à mes aspirations dans cet apprentissage, mais j'espère encore mieux pour l’avenir, de part la bonne volonté de toute l'administration qui ne lésine pas leurs efforts pour mettre cette première promotion dans de bonnes conditions d'apprentissage.
---------------
Je m'appelle Floriane Tchokokam Kameni, de nationalité Camerounaise. J'ai fais des études en Communication à l'Université de Douala au Cameroun où j'ai obtenu une Licence en Communication Sociale et Médiatique. C'est avec beaucoup de plaisir et de joie que j'ai choisi de venir en Hongrie suivre le Master en Relations Internationales, spécialité Développement Europe-Afrique. La spécificité de cette formation inédite tient d'abord dans le fait qu'il s'agisse d'une codiplomation entre l'Université Senghor d'Alexandrie en Égypte et l'Université de Szeged en Hongrie, ensuite, que la formation en elle même traite des rapports entre deux continents: l'Afrique et l'Europe.
Ce master ouvre les portes sur le plan international - avec des carrières assez diversifiées tels que la diplomatie, les ONG internationales et africaines, etc... Les cours sont variés et riches dans leur contenu ; Nous pouvons acquérir des connaissances dans le domaine des sciences politiques, juridiques, économiques, sociales et même dans l'apprentissage des langues étrangères. En outre, j'ai toujours voulu étudier dans un environnement multiculturel.
De part la diversité des nationalités représentées par les autres étudiants, je suis vraiment contente de pouvoir tous les côtoyer et d'en apprendre davantage sur leur culture.
Alors, j'encourage vivement les jeunes à s’intéresser à ce programme qui leur permettra de contribuer au développement de leur continent.
----------------
Je suis Cece Severin LAMAH, de la République Guinée Conakry, étudiant de la première promotion de la spécialité Développement Europe-Afrique organisée au centre universitaire Francophone de l’Université de Szeged, en co-diplomation avec l’Université Senghor d’Alexandrie et l’Université de Szeged (Hongrie). Après une formation universitaire en sociologie dans mon pays, j’ai décidé de quitter le pays pour venir continuer ma formation universitaire à l’étranger (mon premier pays européen fut la Roumanie). J’ai décidé de postuler à cette formation, dispensée intégralement en français et qui m’ouvre les portes à l’exercice de divers métiers: organisations internationales, diplomatie, institutions européennes, ONG, entreprises internationales etc. Je suis arrivé en Hongrie depuis le 23 septembre 2015, et la ville de Szeged (autrement appelée la ville du soleil) est très belle et attire plein d’étudiants de tous les quatre coins du monde ainsi que des touristes.
Je lance un appel aux jeunes africains qui veulent vraiment le progrès de notre beau continent africain pour s’inscrire à cette formation qui est destinée à nous, les jeunes et futures cadres de demain, car il y a encore plein de défis à relever.
Bref je tiens à remercier tout le personnel du centre universitaire francophone de Szeged et de l’université Senghor d’Alexandrie. Surtout pour leur disponibilité et pour leur capacité d’écoute envers nous !!
------
Je m'appelle Donald OBIANG TOMO, originaire du Gabon. Mon arrivée à l'Université de Szeged est due à un appel à la candidature du Campus Senghor en Hongrie (Szeged). J'ai eu l'information à travers le Ministère des Affaires Etrangères de mon pays à la direction générale de la francophonie. En consultant la maquette de la formation, j'ai été attisé par la specialité et les mesures d'accompagnement qui s'en suivaient notamment les debouchés. A cet effet, j'ai postulé pour une candidature et par la suite j'ai été retenu. Je suis donc satisfait de la qualité des enseignements qui nous sont dispensés au Centre universitaire francophone (C.U.F), il y a un bon suivi des étudiants et ce que je trouve très interessant, ce sont les rencontres organisées par le CUF. Avec les Ambassadeurs, des conférences, et les soirées de conversation ou culturelles. Il est bien vrai que nous sommes la première promotion et que chaque début s'avère parfois compliqué, mais je reste confiant dans l'équipe qui nous coordonne sur notre formation. Enfin, à la fin de ma formation, je souhaite faire la diplomatie et représenter le Gabon mon pays sur la scène internationale. Pour cela, j'invite tous les africains, en l'occurence les gabonais désireux de faire des études en Relations Internationales à s'intéresser au campus Senghor de Szeged qui sera, dans les temps à venir, très reconnu.
---------
Je m'appelle Serge Oussah Ouafo de nationalité camerounaise. En postulant pour le master en relations internationales, spécialité Développement Europe-Afrique, je recherchais une formation multidisciplinaire qui intègre le droit international, la science politique, l'économie, la géopolitique et les rapports entre l'Union européenne et l'Afrique.
Ainsi, la formation que m'offre le Campus universitaire francophone de Szeged en coopération avec l'Université Senghor d'Alexandrie donne une dimension internationale et multiculturelle au cursus de part la diversité des étudiants et des enseignants.
Les perspectives de carrières sont nombreuses. En passant de la diplomatie, au conseil en relations internationales, la formation offre aussi la possibilité de travailler dans les organisations internationales, les organisations non-gouvernementales et les institutions gouvernementales en Afrique et une carrière universitaire en postulant pour un doctorat.
Par conséquent, je recommande vivement le master à toute personne objectant travailler dans un environnement international.
